Ce qui marche
Si vous voulez vraiment réfléchir avec une efficacité très élevée, la meilleure et la première des choses à faire est de définir comment fonctionne les choses quand elle fonctionne réellement très très bien.
C’est votre premier point de référence et cela vous permet de comparer avec toutes les bizarreries qui bloquent la machine actuellement.
Pour faire cette démarche, la méthode la plus rapide que je connaisse est de demander à quelqu’un qui a vraiment été efficace et qui a réfléchi avec efficacité et qui a par conséquent obtenu des résultats évident et positif dans le domaine en question.
Exemple de rétablissement financier d’un pays
Je vous donne un exemple de rétablissement des finances publiques d’un pays par un maître en la matière.
C’est l’équivalent français des équipes que je vois opérer en ce moment aux US et dans les autres pays dont j’ai déjà parlé dans ce livre.
Le Général de Gaulle

En 10 années, il a propulsé la France à un niveau de stabilité financière et de diplomatie exceptionnel.
Il a quand même fallu 50 ans de médiocrité et de trahisons perpétuelles des élus qui ont suivi pour en faire un endroit difficile à vivre.
Lorsque le général de Gaulle arrive au pouvoir au début de l’année 1959 la France est très endettée.
Il impose une reprise en main des dépenses publiques et demande à Jacques Rueff de mettre en place un plan de redressement.
Celui-ci coupe les dépenses publiques (qui baissent de 14 % en volume entre 1957 et 1959), ce qui élimine le déficit public, remodèle la politique fiscale, et dévalue le franc pour stimuler les exportations.
Cela permet de réduire la dette publique et de relancer la croissance.
Thomas Sankara

C’est pour moi une référence car il a fait un travail colossal en 4 ans dans un pays en difficulté extrême avant d’être assassiné parce qu’il avait certainement refusé de payer des commissions aux prédateurs du coin.
Les actions de Thomas Sankara
Thomas Sankara, président du Burkina Faso de 1983 à 1987, a mis en œuvre une série de réformes ambitieuses pour redresser son pays, alors appelé Haute-Volta, qu’il a rebaptisé Burkina Faso (« pays des hommes intègres »). Vous voyez on y est encore une fois.
Son objectif était de rompre avec la dépendance, de promouvoir l’autosuffisance et d’améliorer les conditions de vie de la population.
Voici comment il s’y est pris, en détail :
1. Réformes économiques pour l’autosuffisance
- Rejet des prêts étrangers : Thomas Sankara s’est opposé à l’endettement auprès du FMI et de la Banque mondiale, qu’il considérait comme des outils de domination. Il est connu pour avoir déclaré : « Celui qui vous nourrit vous contrôle. » Au lieu de cela, il a cherché à mobiliser les ressources internes.
- Encore un exemple de management efficace.
- Nationalisation et redistribution des terres : Il a lancé une réforme agraire pour redistribuer les terres aux paysans, brisant le pouvoir des chefs traditionnels qui exigeaient des tributs et du travail forcé. Cela visait à augmenter la production agricole locale.
- Promotion de la production locale : Thomas Sankara a encouragé la consommation de produits burkinabè, notamment les textiles locaux comme le Faso Dan Fani, qu’il portait lui-même et imposait aux fonctionnaires. Il a réduit les importations pour favoriser l’économie nationale.
- Réduction des privilèges étatiques : Il a vendu la flotte de Mercedes du gouvernement pour la remplacer par des Renault 5, moins coûteuses, et a réduit les salaires des fonctionnaires, y compris le sien, pour limiter les dépenses publiques.
2. Éducation et alphabétisation
- Campagne massive d’alphabétisation : En quatre ans, le taux d’alphabétisation est passé de 13 % à environ 73 % (selon certaines estimations). Des écoles ont été construites dans les zones rurales, et des campagnes d’éducation populaire ont été organisées avec la participation des citoyens.
- Mobilisation communautaire : Les Comités de Défense de la Révolution (CDR) ont joué un rôle clé pour impliquer la population dans ces efforts.
3. Eau et assainissement
- Eau et assainissement : Sankara a lancé des projets de forage de puits et d’irrigation, améliorant l’accès à l’eau potable dans certaines zones rurales. Cela réduit les maladies diarrhéiques, une autre cause majeure de mortalité infantile.
- Nutrition : La réforme agraire et la promotion de l’autosuffisance alimentaire ont accru la production locale (ex. céréales), potentiellement améliorant l’état nutritionnel des enfants.
- Mobilisation communautaire : Les CDR ont organisé des campagnes de sensibilisation sanitaire, encourageant des pratiques comme l’allaitement ou l’hygiène de base.
4. Infrastructures et environnement
- Construction d’infrastructures : Sans aide extérieure massive, il a initié la construction de routes, de chemins de fer (comme le « Rail du peuple ») et de logements abordables via des usines de briques pour réduire les bidonvilles.
- Lutte contre la désertification : Il a supervisé la plantation de plus de 10 millions d’arbres pour freiner l’avancée du désert du Sahel, combinant écologie et développement agricole.
5. Émancipation sociale
- Égalité des genres : Sankara a interdit la mutilation génitale féminine, les mariages forcés et la polygamie. Il a encouragé les femmes à occuper des postes dans l’administration et l’armée, déclarant : « Il n’y a pas de révolution sociale véritable sans la libération de la femme. »
- Fin des tributs féodaux (taxes féodales) : Il a aboli les taxes rurales oppressives et les pratiques d’exploitation par les chefs traditionnels, redonnant du pouvoir aux paysans. (Aux citoyens)
Résultats concrets
- Autosuffisance alimentaire : En augmentant la production agricole, le Burkina Faso a réduit sa dépendance aux importations alimentaires.
- Stabilisation économique : Malgré un contexte mondial défavorable (baisse des prix du coton, principale exportation), Sankara a évité les ajustements structurels imposés par le FMI à d’autres pays africains.
- Amélioration sociale : Les indicateurs de santé, d’éducation et de bien-être ont progressé rapidement en quatre ans.
Ses réformes radicales ont dérangé les élites traditionnelles et certains militaires, contribuant à son assassinat en 1987 par Blaise Compaoré (condamné à perpétuité en 2022 pour complicité d’assassinat et atteinte à la sûreté de l’Etat).
En résumé, Thomas Sankara a redressé le Burkina Faso en mobilisant les ressources humaines et naturelles du pays, en rejetant la dépendance extérieure et en priorisant les besoins de la population.
Javier Milei

(Actuel président de l’Argentine)
Javier Milei, président de l’Argentine depuis décembre 2023, a mis en œuvre une série de mesures radicales dans le cadre de son programme libertarien pour redresser l’économie du pays, qui était au bord de l’effondrement avec une inflation galopante, un déficit budgétaire chronique et une pauvreté croissante.
Ses actions principales :
1. Élimination du déficit budgétaire
À son arrivée, l’Argentine affichait un déficit primaire d’environ 3 % du PIB en 2023, financé par l’impression monétaire, ce qui alimentait l’hyperinflation.
Milei a imposé une « thérapie de choc » avec des coupes massives dans les dépenses publiques, réduisant les sorties d’environ 30 % en termes réels.
Cela inclut la suppression de plus de 70 000 emplois publics, la suspension des nouveaux contrats d’infrastructures, la réduction des salaires réels des fonctionnaires et des retraites, ainsi que des transferts aux provinces (-87 %).
Résultat : Dès le premier trimestre 2024, l’Argentine a enregistré un excédent budgétaire, le premier depuis 2008. En 2024, le déficit a été transformé en un surplus projeté d’environ 2 % du PIB, mettant fin à 123 ans de déficits quasi ininterrompus.
2. Réduction drastique de l’inflation
En décembre 2023, l’inflation mensuelle atteignait 25,5 %, avec une inflation annuelle dépassant 211 %, l’une des plus élevées au monde.
Milei a stoppé le financement des déficits par la Banque centrale (fin de l’impression monétaire), dévalué le peso de 50 % dès son arrivée pour aligner le taux officiel sur le marché noir, et maintenu des contrôles de change stricts (« cepo ») pour stabiliser la monnaie.
Résultat : L’inflation mensuelle est tombée à 2,7 % en décembre 2024, contre 25,5 % un an plus tôt. L’inflation annuelle, bien qu’encore élevée (autour de 100 %), montre une tendance à la baisse significative, redonnant confiance aux marchés et aux citoyens.
3. Dérégulation économique
L’Argentine souffrait d’un environnement réglementaire étouffant, favorisant les entreprises proches du pouvoir et freinant l’initiative privée.
Via le ministère de la Dérégulation, Milei a supprimé environ une réglementation par jour, soit plus de 300 en un an. Exemples : abolition des contrôles des loyers (augmentation de l’offre de logements à Buenos Aires de 300 %, baisse des loyers réels de près de 50 %), libéralisation des importations (baisse des prix des appareils ménagers et vêtements), et assouplissement des lois sur le travail pour flexibiliser le marché.
Résultat : Ces mesures ont stimulé l’activité économique, réduit les coûts pour les consommateurs et attiré l’attention des investisseurs étrangers, bien que les restrictions sur les changes limitent encore les entrées de capitaux.
4. Stabilisation du peso et des réserves
Situation initiale : La Banque centrale était endettée (12 milliards de dollars), et les réserves de devises étaient quasi nulles, rendant le peso vulnérable.
Action (Compétitivité) : Milei a accumulé plus de 20 milliards de dollars de réserves en 2024 grâce à une politique de change contrôlée et à un excédent commercial dopé par la dévaluation initiale. Il a aussi réduit les dettes en pesos de la Banque centrale.
5. Réformes structurelles et privatisations
Situation initiale : L’État argentin contrôlait de nombreuses entreprises inefficaces et subventionnées qui n’étaient bien sûr pas rentables.
Action (Réduction État) : Milei a réduit le nombre de ministères de 18 à 8 et lancé un programme de privatisation (ex. Aerolíneas Argentinas). Il a aussi introduit le Régime d’Incitations aux Gros Investissements (RIGI), offrant des avantages fiscaux pour attirer les investissements dans des secteurs stratégiques comme l’énergie et les matières premières.
Résultat : La croissance économique a repris au 3e trimestre 2024 (+3,9 % en rythme annualisé), sortant le pays de la récession débutée mi-2023. Les investisseurs, bien que prudents, montrent un regain de confiance (risque pays passé de 2200 à 750 points de base).
6. Soutien international et repositionnement
Situation initiale : L’Argentine était isolée économiquement et dépendante de l’endettement extérieur (44 milliards dus au FMI).
Action : Milei a négocié avec le FMI, obtenant plus de 5 milliards de dollars en 2024 grâce à sa discipline budgétaire. Il a aussi tissé des liens avec des leaders comme Donald Trump et Elon Musk, qui a publiquement soutenu l’investissement en Argentine.
En somme, Milei a réussi à stabiliser une économie au bord du gouffre en un temps record, avec des résultats tangibles sur l’inflation, le déficit et la croissance.
Giorgia Meloni

(Italie)
Giorgia Meloni, Première ministre italienne depuis octobre 2022, a mis en œuvre plusieurs mesures pour redresser le commerce et la santé économique de l’Italie, malgré un contexte difficile (dette publique élevée, croissance faible, crise énergétique).
1. Redressement du commerce extérieur
Sous Meloni, l’Italie a atteint un excédent commercial record en 2024, avec des exportations hors UE atteignant des niveaux historiques (par exemple, 4e pays exportateur mondial selon certains indicateurs récents). Cela s’explique par une politique de soutien aux entreprises exportatrices via des crédits d’impôt et une baisse des charges sociales, rendant les produits « Made in Italy » plus compétitifs.
Elle a assoupli certaines réglementations sur les petites et moyennes entreprises (PME), qui dominent le tissu industriel italien, pour faciliter leur accès aux marchés internationaux. Par exemple, la suppression de barrières administratives a accéléré les processus d’exportation.
Meloni a poussé pour finaliser l’accord Mercosur-UE en décembre 2024, ouvrant des marchés sud-américains aux produits italiens (agriculture, mode, mécanique). Elle a aussi renforcé les liens économiques avec des pays comme l’Inde et le Japon, diversifiant les débouchés commerciaux.
2. Santé économique globale
Contrairement aux craintes initiales d’une politique populiste dispendieuse, Meloni a maintenu une rigueur fiscale pour rassurer les marchés financiers et l’UE. Le déficit budgétaire a été réduit (de 5,6 % du PIB en 2022 à environ 4,5 % en 2024), et l’Italie a dégagé un excédent primaire en 2024, une première depuis des décennies. Cela a stabilisé la dette publique (environ 140 % du PIB), évitant une crise des taux d’intérêt.
Face à la crise énergétique post-Ukraine, elle a prolongé des subventions (plus de 80 milliards d’euros depuis Draghi) pour protéger les ménages et les industries contre la hausse des prix. Elle a aussi relancé l’exploitation de gaz en mer Adriatique, réduisant la dépendance aux importations russes et en soutenant l’industrie.
Le taux de chômage est tombé à 6,8 % en 2024 (le plus bas depuis 2008), contre 8,1 % à son arrivée. Cela découle d’incitations fiscales pour l’embauche de femmes et de jeunes, ainsi que d’une flexibilisation du marché du travail.
Meloni a assuré la continuité du plan de relance post-Covid (près de 200 milliards d’euros de l’UE), investissant dans les infrastructures (routes, ports) et la transition énergétique, ce qui a dopé la croissance (0,7 % en 2024, modeste mais supérieure aux prévisions initiales).
Résultats
- Commerce : L’excédent commercial et la hausse des exportations montrent une résilience, mais l’Italie reste vulnérable aux chocs externes (ex. ralentissement en Allemagne, son principal partenaire).
- Économie : La croissance reste faible par rapport à d’autres pays européens, et les inégalités persistent (stagnation des salaires, exode des jeunes). Les promesses de baisses d’impôts massives ont été modérées pour respecter les contraintes budgétaires, décevant certains électeurs.
En résumé, Meloni a redressé le commerce italien par une combinaison de dérégulation, soutien aux exportateurs et accords internationaux, tout en stabilisant l’économie grâce à une gestion prudente et des investissements ciblés. Cependant, ces succès reposent sur des bases fragiles, et les réformes structurelles profondes (ex. R&D, productivité) restent limitées.
Victor Orban

(Hongrie)
Voici une analyse des points positifs qui ont contribué aux progrès de la Hongrie sur la scène internationale et dans le domaine commercial, en me basant sur les informations disponibles jusqu’à mars 2025.
1. Excédent commercial et dynamisme des exportations
La Hongrie a enregistré un excédent commercial significatif ces dernières années, notamment en 2024, avec des exportations hors UE atteignant des niveaux historiques. Cela repose sur des secteurs clés comme l’automobile (ex. usines Audi à Győr), l’électronique et les produits agricoles.
Le gouvernement a soutenu les petites et moyennes entreprises via des incitations fiscales et une simplification administrative, renforçant leur capacité à exporter, notamment vers l’Asie et les États-Unis.
2. Investissements étrangers massifs
La Hongrie a attiré des investissements directs étrangers (IDE) massifs, notamment de la Chine, qui représentait près des trois quarts des IDE en 2023. Des projets comme l’usine de batteries CATL à Debrecen (7,3 milliards d’euros) ou l’usine BYD à Szeged renforcent son rôle dans la chaîne mondiale de production, surtout dans les technologies vertes.
Le gouvernement de Viktor Orbán offre des exonérations fiscales et des infrastructures adaptées (ex. zones économiques spéciales), rendant le pays attractif pour les investisseurs asiatiques et américains.
3. Diversification des partenaires économiques
Face aux tensions avec l’UE, la Hongrie a diversifié ses partenariats, notamment avec la Chine, la Russie (avant les sanctions renforcées) et des pays comme l’Inde. Cela réduit sa dépendance économique à l’Europe occidentale.
Des discussions avec les États-Unis pour un partenariat économique post-conflit ukrainien (annoncées en mars 2025 sur X) visent à contourner les barrières commerciales de l’UE, renforçant sa position internationale.
4. Politiques économiques familiales innovantes
En 2025, la Hongrie a lancé ce qu’elle revendique comme la plus grande baisse d’impôts d’Europe, axée sur les familles (ex. exonération d’impôt pour les mères d’un enfant jusqu’à 30 ans, selon des posts sur X). Cela stimule la consommation interne et attire l’attention mondiale comme modèle économique « pro-famille ».
5. Stabilité macroéconomique
Après une contraction en 2023 (-0,9 % du PIB), la Hongrie a rebondi avec une croissance de 1,7 % au premier trimestre 2024, portée par la consommation et les exportations. La baisse de l’inflation (de 25 % en 2022 à un niveau plus raisonnable en 2024) a permis à la Banque centrale de réduire les taux d’intérêt (de 18 % à 7 %), favorisant l’investissement.
La part de la dette publique en devises étrangères est passée de 50 % en 2011 à 29 % en 2024, diminuant la vulnérabilité aux chocs externes.
6. Rôle diplomatique accru
Viktor Orbán a cultivé une image de » pont » entre l’Est et l’Ouest, avec des visites controversées à Moscou et Pékin, mais aussi des liens renforcés avec les États-Unis sous Trump. Cela positionne la Hongrie comme un acteur stratégique dans un monde polarisé.
Groupe de Visegrád : En collaboration avec la Pologne, la Tchéquie et la Slovaquie, la Hongrie défend ses intérêts au sein de l’UE, notamment pour l’élargissement aux Balkans, où elle voit un rôle de pivot commercial.
7. Soutien au tourisme
Le tourisme, représentant 6,2 % du PIB et 400 000 emplois, a explosé en 2024, avec Budapest captant 40 % des visiteurs internationaux. Des campagnes promotionnelles et des investissements dans les infrastructures (ex. aéroport de Budapest) ont boosté ce moteur économique.
Résultats concrets
L’excédent commercial et les IDE placent la Hongrie parmi les économies les plus dynamiques d’Europe centrale, rivalisant avec la Pologne et la Tchéquie.
Donald Trump

(Résumé rapide de l’action aux États-Unis)
Il avait déjà prouvé durant son premier mandat qu’il stoppait les guerres et les ingérences des États-Unis dans les pays étrangers.
Il avait déjà fortement modifié l’économie des US tout en étant totalement empêtrés dans des procédures judiciaires artificielles.
La version 2025, en 2 mois, que l’on peut observer est un parfait exemples de l’application de ce code :
- Arrêt des gabegies Étatiques avec l’arrêt de L’USAID.
- Arrêt des ingérences dans les pays étrangers avec l’arrêt de l’USAID.
- Promotion de la transparence de l’État avec la déclassification des dossiers John F Kennedy, Robert F Kennedy et Martin Luther King.
- Nettoyage récent du monde de l’Éducation Nationale.
- Arrêt de l’interférence sur les genres par le monde Woke.
- Baisse très forte des impôts, attaque des impôts sur le revenu.
- Baisse toutes les semaines en ce mois de mars des coûts de l’énergie dans tous les États-Unis.
J’arrête là.
Il ne fait aucun doute que le pays va se redresser dans les 6 mois avec une accélération de plus en plus forte.
Donald Trump
Ces exemples sont des exemples concrets de ce que l’application des lois naturelles du management peuvent faire pour un pays et à quelle vitesse cela peut se faire quand on les applique.
Toutes ces personnes utilisent certaines des lois contenues dans ce code. Parfois toutes.
Toutes ces personnes sont bienveillantes et disposent de solides compétences en management des groupes. Elles obtiennent des résultats.
Certains pays sont encore en difficultés avec une dépendance extérieure et des difficultés à baisser les taxes et les charges sur les citoyens et les entreprises mais ce sont bien toujours les mêmes grandes lignes qui apparaissent et qui sont actives sur le redressement d’un pays.