Le facteur humain
Le facteur humain est de loin le plus important dans tous les problèmes de société.

C’est ce qui va être à la racine de toutes les orientations, de toutes les évolutions de notre société.
L’humain, c’est l’infini.
Les solutions que l’homme peut apporter à la société sont infinies.
Des constructions très spéciales permettent de faire du froid sans énergie ajoutée en plein désert.
Récemment, un homme a reboisé une étendue aride en creusant à la main des trous cubiques dans le sol pour recréer des écosystèmes qui se sont auto-entretenus et qui ont prospéré. Il avait simplement constaté qu’avec son système, il avait réuni les conditions pour que des graines et de l’humidité se renforcent mutuellement et prospèrent (sans aucuns autres moyens de plus en jeu).
D’autres inventions telles que des canaux souterrains inventés et en fonctionnement depuis plus de 3000 ans permettent l’irrigation dans certaines zones désertiques.
Depuis 40 ans, j’ai été témoin de la création de dizaines de moyens de créer de l’énergie gratuite qui ont été étouffés et qui ont disparu de la surface de la terre.
En France, nous sommes même allés jusqu’à inventer le « jambon-beurre ».
Les créations humaines sont infinies.
La création infinie est le socle de la civilisation.
Il n’y a aucune limite.
Encore l’échange, bien sûr
Je ne reviendrai jamais assez sur la règle de l’échange qui est la base pour évaluer la qualité de toutes les interactions entre les citoyens. C’est aussi sur ce phénomène clé qu’un autre mécanisme va pouvoir se déclencher.
Nous avons tous raison
Nous réfléchissons tous de manière parfaite en fonction de notre éducation, de nos peurs, de nos codes et de nos systèmes de pensée.
Mais que va-t-il se passer si vous permettez à une personne de piocher dans la caisse sans respecter cette loi de l’échange ?
Pas de chance pour le reste d’entre nous.
Cette personne va elle aussi avoir raison. Même si elle ne respecte pas les lois de l’échange, elle va “se donner raison”.
Il lui suffit d’y ajouter quelques bonnes raisons.
- Les humains sont très, très inventifs.
- Le budget de l’État est déficitaire, mais nous avons eu des crises à affronter. (Veuillez entendre par là que nous les avons organisées par incompétence ou même intentionnellement.)
- Nous sommes déficitaires, mais nous avons « droit » à 3 % de déficit. C’est normal, nous faisons toujours cela. C’est autorisé par Bruxelles.
- Je touche des allocations auxquelles je n’ai pas contribué par le passé, mais c’est normal puisque c’est l’État qui finance. Nous sommes en France.
- J’ai volé à l’étalage d’un commerçant, c’est normal, c’est parce que j’avais faim.
- Je bénéficie des allocations familiales et c’est normal puisque tout le monde y a droit.
- Je touche des subventions, c’est comme cela que cela se passe en France. L’État, tu comprends…
- Je suis au chômage, c’est normal, tu y as droit après 6 mois d’emploi. Tu as payé pour cela. Tu peux partir en vacances ou t’occuper un peu de ta famille.
- Je suis dans un HLM depuis 30 ans, mes revenus ont triplé, c’est normal, j’y suis, j’y reste. L’État est là pour cela. Si ce n’est pas moi, c’est quelqu’un d’autre qui va en bénéficier.
- Je me laisse traîner dans la société sur des métiers subventionnés, c’est normal. Il suffit de se baisser pour ramasser en France.
- Je me suis mis au chômage, c’est normal, j’y ai droit. J’avais besoin de refaire ma cuisine…
- Nous sommes en train de nous implanter dans ce pays, c’est normal, nous avons été colonisés pendant 150 ans… Nous allons même leur faire payer.
- La liste est longue, nous avons tous raison. Certaines personnes ne se laissent pas aller à ces idioties. Ce sont toujours les mêmes. Ce sont aussi celles qui refusent de laisser leurs compétences disparaître dans la médiocrité et qui décident de s’expatrier quand la coupe est pleine.
- Cela peut donc aller très loin. Tout particulièrement pour les personnes qui bénéficient de quelque chose qu’elles se sont approprié de manière injuste si l’on se base sur ce critère d’échange correct.
Incorrect ou injuste en opposition à illégal
Je n’ai pas dit illégal car le système judiciaire et les lois actuels se sont tellement écartés de la loi de l’échange que vous pouvez être dans la légalité et être en opposition totale avec les lois de fonctionnement d’une société juste.
MAIS : que se passerait-il si :

Tout d’un coup on remettait cette loi de l’échange en place à tous les étages de notre société ?
L’invasion migratoire
Prenons les allocations familiales : les citoyens français en ce moment n’ont que 1,7 enfant par couple.
(Le problème non traité pour ce résultat désastreux pour le futur d’un pays, ce sont probablement les conditions de vie exécrables imposées à la population par notre gouvernement depuis des décennies et il y a peut-être d’autres raisons plus précises comme l’attaque des mœurs, mais ne nous écartons pas du sujet.)
Mais ce sont ces mêmes citoyens qui financent les allocations familiales sans jamais en bénéficier.
Les personnes qui en bénéficient sont en général les populations étrangères qui s’installent dans le nid pour en bénéficier et en vivre très largement avec des familles très nombreuses.
Que se passerait-il si l’on supprimait purement et simplement ce système de cotisations et redistributions injustes de richesses maintenant devenues obsolètes ?
Que se passerait-il au niveau de l’invasion migratoire actuelle ?
Drôle, non ?
Vous ne trouvez pas ?
Que deviendrait, dans ce cas, cette invasion migratoire avérée ?
Le chômage
Je prends l’invasion migratoire organisée, mais que se passerait-il si l’on repensait correctement tout ce qui nous amène à entretenir vigoureusement notre chômage en France ?
Nos politiciens
Que se passerait-il si l’on exigeait avec une grande vigueur une efficacité de nos politiciens ?
L’humain et l’échange est donc la solution
Le côté humain et en particulier cette loi de l’échange est donc la clé dans la résolution de beaucoup de problèmes que nous entretenons de manière totalement inutile. Peu d’hommes politiques peuvent y faire quelque chose actuellement car ils bénéficient eux-mêmes de ce déséquilibre dans les échanges en ne produisant que peu de valeur dans leur fonction. Étant complices, ils font plus partie du problème que de la solution.