Plan de redressement en 6 mois

Menaces des élus

Sans parler des maires à qui l’on demande de donner leur voix pour les 500 maires demandés pour le cas des élections présidentielles – ils en sont un exemple fameux.

S’ils donnent leurs voix à un pestiféré du pouvoir qui souhaiterait par exemple le Frexit comme un Asselineau ou un Florian Philippot, ils deviennent les brimés de la République et leur communes doivent supporter des blocages administratifs violents.

Récemment, l’affaire Epstein aux États-Unis a clairement montré que les députés et les sénateurs étaient des cibles d’opérations de chantage avec des compromissions sexuelles organisées par des services secrets de puissances étrangères.

Députés contraints

Je ne parle pas non plus de nos députés qui valident des lois qui ne protègent en aucune façon les citoyens qui les ont élus alors que les citoyens veulent avoir la liberté de croyance et de penser sur les idéologies politiques qu’ils décident d’adopter, les soins qu’ils décident de recevoir, on se rappelle de l’article 4 récent qui interdit de penser différemment de la pensée dogmatique établie sur le sujet médical.

Enfin, la possibilité de déplaire à une autorité souterraine, ou encore à une tranche d’électeurs qui aurait un poids dans une quelconque réélection n’est pas à sous-estimer.

Je me rappelle aussi les nombreuses lois votées dans le passé, en pleine nuit, par une minorité de députés, avertis et réquisitionnés, présents dans l’hémicycle à l’insu de tout le monde etc..

La solution :

Anecdote Suisse :

Récemment, j’ai pu voir une personnalité des armées Suisse être limogée après avoir organisé des opérations militaires conjointes avec l’OTAN alors que la Suisse est un pays neutre.

J’ai parlé de cela avec un ami Suisse à plusieurs reprises. Ils sont très fiers d’avoir échappé à de nombreuses tentatives d’asservissement organisées grâce à leur référendums d’initiative populaire.

Ursula von der Leyen, a récemment déclaré que la Suisse n’était pas la bienvenue dans l’Union Européenne à cause de son mode de gouvernement participatif.

Excellent, vous ne trouvez pas ? Il semblerait que nous soyons sur une piste.

Le référendum d’initiative populaire

semble donc être une solution à creuser avec attention.

Je vous mets en lien, la page de l’IFRAP qui traite de ce sujet

l’IFRAP

Exemple Suisse (IFRAP) :

Depuis 1927, le personnel de la Confédération était soit nommé au statut de fonctionnaire pour un mandat de 3 ans appelé la période administrative lors duquel l’autorité administrative qui avait nommé une personne ne pouvait la révoquer sans « justes motifs », soit il était simplement employé. A la fin des années 1990 ce système dual est critiqué, le Conseil fédéral lance donc un projet de loi pour réformer le statut du personnel de la Confédération. Lors des débats, le Parlement appuie sur les notions nécessaires de flexibilité et de compétitivité. La loi est adoptée par le Parlement le 24 mars 2000 et prévoit la suppression du statut des fonctionnaires, autrement dit les fonctionnaires ne sont plus nommés pour une période administrative mais engagés par un contrat révocable de droit public réglé par le Code des obligations. Site internet de la Confédération suisse

Exemple Référendum Suisse (IFRAP) :

Soucieuse de la dégradation de la sécurité de l’emploi des fonctionnaires liée à cette réforme, l’Union fédérale du personnel des administrations et des entreprises publiques dépose un référendum pour s’opposer à l’entrée en vigueur de cette loi. Les 50.000 signatures requises sont réunies dans le délai imparti et la votation populaire est prévue le 26 novembre 2000. Le résultat est sans appel : le peuple accepte la nouvelle loi à 66,9% et supprime le statut de fonctionnaire.

Il me semble aussi que ce système peut être étendu et être amélioré. Mais ceci me semble à creuser. Bien sûr, il faudra aussi éduquer les citoyens avec de vrais chiffres et de vraies informations pour leur permettre de prendre les bonnes décisions. Mais cela est un autre point à gérer.

Une page qui me semble très pertinente.

Le programme simple sur la page du RPF sur laquelle je suis tombé encore une fois par hasard.

Je vous le cite car il est très direct et sans fioriture et que c’est un excellent programme.

Programme du RPF

Le RPF, toujours critique, mais également force de proposition a listé une série de mesures à prendre immédiatement, selon deux axes : faire des économies et « arrêter d’emmerder les Français », selon la sage parole de Pompidou.

  • Fin du droit du sol
  • Fin des aides internationales au développement
  • Fin des subventions aux entreprises et baisse de leurs charges
  • Fin des subventions à la transition énergétique
  • Fin des ZFE
  • Fin des prestations sociales aux étrangers
  • Fin des accords de 68 avec l’Algérie
  • Fin des recours aux cabinets de conseils privés
  • Fin du Conseil économique et social
  • Fin des Comités « Théodule »
  • Fin des ARS
  • Fin de la fraude fiscale en recoupant les fichiers informatiques
  • Fin des niches fiscales
  • Fin des pensions versées à des Algériens plus que centenaires
  • Fin du contrôle technique européen des automobiles et retour à un contrôle national cantonné aux stricts éléments de sécurité mécaniques
  • Fin des diagnostics immobiliers obligatoires, sauf recherche amiante et plomb
  • Fin de notre adhésion à l’OMS
  • Fin de notre adhésion à la Commission européenne des Droits de l’Homme
  • Fin de notre adhésion à la Cour Européenne de Justice
  • Fin des accords de Marrakech
  • Fin de la taxation des abris jardins
  • Fin des mutuelles obligatoires
  • Fin de l’obligation vaccinale des enfants. Sauf BCG et tétanos…
  • Fin de l’interdiction de scolariser ses enfants à la maison
  • Fin des obligations de permis de construire pour travaux d’aménagement intérieur et agrandissement de moins de quarante mètres-carrés
  • Fin du syndicat de la magistrature
  • Fin de l’obligation du médecin référent
  • Fin des subventions à la presse et au cinéma
  • Fin des lois Duflot/Pinel
  • Fin de l’interdiction de brûler des végétaux en zone rurale semi rurale
  • Fin de l’interdiction de paiement en cash pour des biens matériels de moins de 100 000 euros
  • Fin des procédures juridiques pour expulser des squatters
  • Fin du pantouflage dans le privé pour les hauts fonctionnaires et les élus
  • Fin de la prise en compte des genres autres que masculin et féminin
  • Fin des droits de succession pour des patrimoines de moins de deux millions d’euros, exonération totale pour les domaines agricoles et les entreprises.
  • Fin des subventions d’état aux ONG et aux associations locales
  • Et encore…
  • Moratoire sur l’immigration le temps d’un état des lieux
  • Moratoire sur les normes de toutes natures, le temps d’un inventaire
  • Instauration des statistiques ethnico-religieuses de la délinquance
  • Rupture des visas, des relations diplomatiques et économiques avec les pays africains qui ne reprennent pas leurs ressortissants

Source: Rassemblement du Peuple Français
Groupe Telegram

Pierre Duriot : Porte Parole du Rassemblement du Peuple Français.

Programme est excellent

Vous pouvez remarquer qu’une grande majorité de ces points violent la loi de l’échange.

Ce programme me semble être écrit par un vrai manager, avec la ferme intention de redresser la France à très grande vitesse, comme ce qui se passe actuellement aux États-Unis, en Argentine, en Italie, en Hongrie, au Salvador.

Je le baptise « programme redressement TGV 6 mois ».

La solution au déficit budgétaire

Entretenu par les copains des copains que nous avons élus par erreur et qui sont sous la terreur de perdre leurs avantages, de payer pour leur malversations et leurs crimes contre l’Humanité ou sous je ne sais quel chantage organisé.

La solution au budget déficitaire me semble très bien attaquée avec ce programme toujours du RPF décidément sur lequel je suis tombé aussi par hasard sur un poste Linkedin de ce même RPF.

Au RPF, voici quelques temps déjà, nous dénoncions le gaspillage éhonté de l’argent public et proposions de supprimer les agences gouvernementales, les fameuses « Théodule », qui ne font jamais que le travail des ministères.

Nous avions une idée assez peu précise de leur coût qu’il avait été impossible d’évaluer avec une certaine justesse au moment où nous écrivions.

Le voilà évalué à environ 85 milliards d’euros, un coût faramineux pour ces 1 200 commissions, conférences, agences et opérateurs de l’État, dont la multiplication anarchique sert en premier lieu à recaser des anciens ministres, des copains députés ou sénateurs battus.

Comme nous, les contribuables Associés appellent à passer un grand coup de balai dans ce mille feuilles administratif… François Bayrou a évoqué ces « 1 000 agences sans contrôle démocratique réel ».

Mais il fut maintes fois au gouvernement sans que cela ne le soucie. Éric Ciotti, président de l’Union des droites pour la République, préconise une « loi tronçonneuse » pour supprimer les organismes inutiles comme l’Arcom ou le CESE.

Le RPF n’est donc plus seul à proposer qu’on se préoccupe de ces nids d’idéologues et de profiteurs.

Mais en gestionnaire de la France en « bon père de famille », comme le fut le Général, il faut faire quelques additions.

  • 85 milliards d’agences,
  • 200 milliards donnés aux entreprises, principalement les plus grandes, sans réelles contreparties,
  • 40 à 50 milliards de fraudes sociales,
  • 60 à 90 milliards de fraude fiscale,
  • 10 à 15 milliards donnés à des pays étrangers,
  • le coût de l’AME et des prestations versées à des étrangers, soit encore, presque une dizaine de milliards…
 

soit à la louche 400 milliards de gaspillage chaque année, plus que ce que la France emprunte sur les marchés.

On peut ajouter de nombreux manques à gagner, comme par exemple, les autoroutes, payées par le contribuable et données en gestion à des entreprises privées qui y réalisent des dividendes à deux chiffres, commençant par un deux. Pour se donner une idée, pour 40 Euros, on peut… lire la suite sur…

— Blog du RPF: Lien LinkedIn— Groupe Telegram du RPF: Lien Telegram— Pierre Duriot : porte-parole du Rassemblement du Peuple Français.

L’Éducation Nationale

L’Éducation Nationale à reconstruire avec des méthodes éducatives efficaces pour affronter la vie.

Là, il est bien nécessaire de regarder ce point car de toute évidence nous sommes passés des premières positions à la 30ème en l’espace de quelques années et pour obtenir un tel déclin il faut vraiment sauter dessus à pieds joints.

Dans le passé, avec la méthode syllabique, on apprenait à un enfant du cours préparatoire à lire en 3 mois. Cette méthode, au fil des temps, a été tordue, supprimée, repensée, retravaillée.

Nous avons dû faire subir à nos enfants la méthode globale et les semi-globales et les semi-tordues etc.

La grammaire a subi des changements de vocabulaire (déterminants par exemple) pour éviter aux parents éduqués de pouvoir aider leurs enfants et mettre ainsi tous les enfants sur le même pied d’égalité. Oui étonnant ! Quelle rupture et quelle perte de temps et d’argent surtout.

Les mathématiques modernes ont été instruites avec ce même objectif. Je le sais car un de mes amis dirigeant avait rencontré l’individu qui avait produit ce monstre de destruction. Il m’avait raconté cela avec effarement.

Le responsable des IUFMs (Institut universitaire des maîtres, un certain Mérieux qui avait en charge la pédagogie de toutes les écoles françaises) en son temps faisait un discours de plusieurs heures sur des mots du type « référentiel bondissant » pour parler d’un ballon, mot inconnu et jetant la confusion dans l’auditoire avec une déclaration finale disant que l’important était l’école laïque.

Petit problème, il mettait lui-même ses enfants dans une école privée (suisse, je crois) construite pour l’élite.

Sans fin.

Et il est clair que si l’on ne veut pas être entouré de barbares, il vaut mieux donner à nos enfants une éducation solide. C’est quand même le chemin rapide que nos enfants prennent en ce moment.

L’Éducation Nationale doit donc être remise de toute urgence sur le marché du travail et de la concurrence. Les résultats feront la différence.

La fraude Migratoire

L’enseignement du latin et du grec par exemple :

Toujours en parlant du latin et du grec « qui a été supprimé et qui ne sert à rien »

L’arrêt de l’éducation du latin et du grec qui permettait de ressentir la profondeur des mots et du langage et de promouvoir l’envie d’agir par exemple se place bien avant dans la destruction de la culture.

La majorité des hommes clefs du siècle dernier avaient fait des études de lettres et non pas des études de mathématiques.

L’enseignement des langues qui ont produit le français pourrait d’ailleurs très facilement être remplacé pas l’utilisation d’un dictionnaire comprenant l’étymologie simplifiée, il n’y a pas besoin de se replonger dans les horreurs des cours de latin et de grec longs, fastidieux et traitant d’une époque révolue.

Rester en alerte

Dans le milieu de l’entreprise, une excellente solution est d’analyser différentes entreprises sur différents marchés pour en sortir les points positifs et les appliquer à sa propre entreprise.

C’est ce qu’a fait la Chine pendant des décennies.

On pouvait voir des chinois en vacances qui se baladaient avec leurs appareils à photos pour récolter les bonnes pratiques du monde occidental. Ils avaient pour mission de prendre en photos tout ce qu’ils trouvaient étonnant.

Nous leur avons même donné nos usines en échange d’une production à faible coût.

Ils sont maintenant bien en avance dans beaucoup de domaines technologiques.

Ils ont acheté les entreprises qui possédaient des technologies high tech pour récupérer leurs brevets avant de les jeter comme dans le cas de l’entreprise qui construisait des roues de TGV.

Rien ne nous empêche de faire la même chose sans le pillage et le dumping et c’est ce qui devrait être fait car de nombreux pays dans de nombreux sujets ont fait des percées remarquables que nous devrions copier objectivement.

Rien ne nous empêche de copier ce qui se passe comme réforme dans les pays comme le japon, très rentable, Salvador, l’Italie, la Hongrie, L’Argentine, les États-Unis, la Chine même en ce qui concerne certains critères qui concernent sa puissance économique et ses capacités de production.

Tout n’est pas forcément à copier car certains de ces pays sont encore sous dépendance financière mais le chemin est tracé.

Il ne nous reste plus qu’à copier. Il y a une foule d’exemples à analyser.

Thomas Sankara l’a fait en 6 ans dans un pays en extrême pauvreté.

En remettant les idéologies à leur place et en détruisant la machine à conflits idéologiques qui divise les populations, nous pourrions certainement le faire en 1 an.